Le mouvement DROIT À UN TOIT mobilise, depuis juillet 2017, autour d’actions concrètes les personnes déterminées à avancer vers une fin du sans-abrisme en Région Bruxelles-Capitale.La pertinence de DROIT À UN TOIT repose sur l’expertise professionnelle des 80 associations du secteur, signataires de l’appel à l’origine du mouvement.La stratégie d’action de DROIT À UN TOIT repose sur un constat clair : les professionnels, bénévoles ou bénéficiaires du secteur de la lutte contre la pauvreté doivent pouvoir compter sur 1) la collaboration étroite avec les secteurs limitrophes (prévention du sans-abrisme et promotion de logements abordables) et 2) la mobilisation de la société civile, qu’il s’agisse d’investisseurs sociaux, de multipropriétaires engagés, de politiciens conscientisés ou de citoyens révoltés contre le manque de moyens mis en place pour venir à bout du sans-abrisme.Mettre fin au sans-abrisme est possible.
Les villes qui y sont arrivées ont, un jour, décidé de s’en donner les moyens. C’est un choix de société et, en plus, un investissement rentable à long terme.Les prochaines élections régionales, fédérales et européennes offrent l’occasion idéale pour envoyer un message clair aux instances décisionnelles : les Bruxellois sont résolus de mettre fin au sans-abrisme, que celui-ci touche les avec-papiers ou les sans-papiers.La première « Assemblée ouverte » de DROIT À UN TOIT, le samedi 23 février 2019 de 11h30 à 14h30 au Kaaitheater, veut réunir un maximum de personnes et jeter les bases d’actions concrètes et d’engagements fermes. Venez nombreux, mobilisez vos contacts, likez la page FB de DAT, partagez l’événement Facebook du 23/2 !
Mobilisation citoyenne : venez nombreux à la première Assemblée ouverte de DROIT À UN TOIT, le 23 février 2019, de 11h à 14h30, au Kaaitheater. La fin du sans-abrisme commence avec vous !
Vous souhaiteriez vous investir dans des actions concrètes mais ne savez pas lesquelles peuvent faire la différence ? L’Assemblée ouverte vous les présentera.
Oui, comme les villes où il n’ y a (quasi) plus de sans-abris le prouvent, mettre fin au sans-abrisme à Bruxelles est possible. Il suffit, dans l’ordre, de le vouloir, de le décider, de s’en donner les moyens et de s’y mettre !
Auberge espagnole et garderie enfants prévue.